Morteüs le lion

Morteüs avec sa touffe de cheveux poilu, rentre dans un bar, il porte un haut blanc et un jean levis touss touss, il n'a pas un rond, '' fait péter le Bailey, mon salop'', Le barman le toise du regard, '' tire-toi sale clochard, tu n'as pas un rond'', quand une fille avec un jeans levis moulants passe, Morteüs lui caresse le cul, lui vole son portemonnaie et la fille ne remarque pas, mieux encore elle lui lance un clin d'œil, elle a pété, elle a jouit.
Morteüs a payer son Bailey, ''je t'ai très bien vu tirer les tunes à la fille Morteüs'', un gros negro rentre dans le bar, '' va tété ta tétine ailleurs gros minet'', Morteüs réponds par un coup de boule dans son ventre, la bagarre s'engage, alors que Morteüs commençait à gagner le combat, la fille à qui il avait tiré les tunes revient dans le bar, '' C'est lui, c'est ce mal polie, il m'a tiré mes tunes et caresser les fesses'', tout le monde entoure Morteüs, ''t'a touché à ma meuf, à ma black'', les gens se dévisagent très longtemps, mais cependant Morteüs excelle dans l'art de la baston et jettent le portemonnaie avec le reste d'argent sur les fesses de la chienne en chaleur, qui lui envoie un gros FUCK YOU.
Morteüs est avec une blonde aux yeux bleus dans un énorme lit, il baise, la position en T du célèbre kamasoutra est de rigueur, il lui pelote bien les seins. Il avait rencontré cette chaude cochonne, habillé un peu comme lui, haut blanc, jeans levis touss touss dans un bar, elle parlait avec un gros négro et Morteüs l'arracha de ses bras, après l’avoir dévisagé de manière culoté. Morteüs en chemise grise et en pantalon de costume pénètre souvent dans les bars, marche et aime peloter les fesses des filles au passage, japonaise, comme congolaise...


Fin