6 l’amour dans un cimetière

Ce mardi Adam’s n’ira pas en cours, non il n’ira pas parce que beaucoup trop fatigué, parce que beaucoup trop épuisé. Imaginez-vous « je suis bonne » était agrippé à une pierre tombale, sa jupe relevé, permettait à Adam’s d’avoir de l’adhérence sur ses fesses et Adam’s trouvait l’antre de la bête sans aucun complexe. « je suis bonne » se demandait comment un bouffon comme Adam’s pouvait avoir une aussi grosse bite. Adam n’était plus puço, il s’était fait dépucelé dans le cimetière à son père. Adam’s avait une résistance à toute épreuve, dix coups et il éjaculait, il avait déjà éjaculé au moins vingt fois dans la chatte à « je suis bonne », lui qui n’avait jamais même osé se branler, lui qui traumatisé par Jessica la meuf à Bo n’avait jamais osé l’enculer du regard, bien qu’il aurait voulu. Ceci pour expliquer qu’Adam avait des hectolitres de spermes en réserve. Flesh to flesh, peau contre peau Adam’s et je suis bonne étaient maintenant nus, ils avaient allumé des bougies et Adam’s oppressait les gros obus de je suis bonne, des seins si merveilleux, lui qui n’avait jamais touché de seins. Adam’s et « je suis bonne » étaient l’abîme d’où jaillissait la source, la sueur. Adam’s et « je suis bonne » baisèrent jusqu’au matin. Vers six heure, mardi matin, « je suis bonne » voulait achever Adam par une pipe royale, à sept heure l’heure de la prière, une grand-mère entra dans le cimetière pour rendre hommage à la mémoire de son petit-fils décédé, qui trouva t’elle devinez-vous, « je suis bonne » nue entrain de sucer Adam’s nu dans le cimetière. Adam’s qui avait du respect pour les personnes du troisième âge se rhabilla et il sortit avec « je suis bonne » du cimetière. Adam’s prit le chemin de la maison, « je suis bonne » un autre chemin.