Orifice lunaire
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Orifice lunaire
Madame est d'une beauté diaphane
Elle est encore pucelle
Morteüs à la porte et sa pureté fane
Elle a perdu ses ailes
Elle qui méprisait les fils d'Adam
Se perd dans la volupté
M'embrasser son désir le plus ardent
Elle aime le péché
Qui a découvert ma nudité
Mon orifice lunaire
Fais voler en éclat ma chasteté
Et parle-moi de chair
Mon bien aimé, ton sexe est pétri de lait
Tu me pénètres avec douceur
Tant de maraud te disent violent et laid
Tu me pénètres avec amour
Mon sexe est une fleur voluptueuse
Les humaines, ces sans l'amour, n'ont que des trompes
Comment aurais-tu pu me rendre heureuse
Que les commérages s'estompent
J'ai vu Morteüs avec une femme
Il fit éclore en elle l'amour
L'orifice lunaire est fait de charme
Morteüs rend les trainés glamours
Et cette autre qui trompe les hommes
Morteüs pleura sur ses fesses
Elles semblent bonnes, elles semblent énormes
Au pieu en arabe se confessent
Tu n'aimes que les fleurs caractérielles
Parfois même les plus méprisables
Les flageller mène au ciel
A tes côtés sont honorables
Mon conseil pour l'Homme, fais avec la vie
J'irai même plus loin, soit un peu sincère
Donne à la dernière, arrête de punir
Et tu auras un trésor en sa chair...
Elle est encore pucelle
Morteüs à la porte et sa pureté fane
Elle a perdu ses ailes
Elle qui méprisait les fils d'Adam
Se perd dans la volupté
M'embrasser son désir le plus ardent
Elle aime le péché
Qui a découvert ma nudité
Mon orifice lunaire
Fais voler en éclat ma chasteté
Et parle-moi de chair
Mon bien aimé, ton sexe est pétri de lait
Tu me pénètres avec douceur
Tant de maraud te disent violent et laid
Tu me pénètres avec amour
Mon sexe est une fleur voluptueuse
Les humaines, ces sans l'amour, n'ont que des trompes
Comment aurais-tu pu me rendre heureuse
Que les commérages s'estompent
J'ai vu Morteüs avec une femme
Il fit éclore en elle l'amour
L'orifice lunaire est fait de charme
Morteüs rend les trainés glamours
Et cette autre qui trompe les hommes
Morteüs pleura sur ses fesses
Elles semblent bonnes, elles semblent énormes
Au pieu en arabe se confessent
Tu n'aimes que les fleurs caractérielles
Parfois même les plus méprisables
Les flageller mène au ciel
A tes côtés sont honorables
Mon conseil pour l'Homme, fais avec la vie
J'irai même plus loin, soit un peu sincère
Donne à la dernière, arrête de punir
Et tu auras un trésor en sa chair...
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