La vie de Morteüs

Je veux parler de moi, de ma personne, jusqu'au jour de ma renaissance totale qui a pris lieu il y a peu de temps, c'est ici une rupture dans l'espace-temps, une avancé dans l'éternité...

Ma mère médecin, mon père un ingénieur. Ma mère et mon père se sont séparés très tôt, depuis jusqu'à lors je demeure avec ma mère.
Ma mère est une chrétienne, une femme de foi, au parcours de bonne sœur qui en convertirait plus d'un. Elle accumule les diplômes et elle est combattue par le pouvoir franc maçon en place dans nôtre pays le Gabon.
Je me rappelle de ma vie d'enfant bourgeois à batterie 4, mon cousin Wilfrid, les oncles nantis chez qui j'aimais passer des séjours, j'étais aux oisillons, une école privé, le docteur Gandhour, l'ami de ma mère et son fils Medhi.
J'ai toujours été doué pour le football et les arts martiaux, aujourd'hui j'ai arrêté le football et m'adonne aux arts martiaux, j'ai joué à Paris au Maracana, nôtre stade, le stade Charles Mourreux.
Les oisillons, Sainte Clotilde en France, Claude Monet à Paris, Blaise Pascal au Gabon, puis à l'université en France, en Italie et au Canada.
J'ai déjà vécu chez des familles françaises, les Duhammels, 3 années de suite, les Ziegler une année à Orléans.
J'ai sorti des filles, touché, apprécié, exemple, Marjorie Démoulin et cette fille aux origines latines. Prisca Mboumba est la première fille africaine que j'ai sorti, j'étais alors à Blaise Pascal, le baiser fut foudroyant. J'ai eu de nombreuses rencontres, de nombreux flirt...
Aujourd'hui je suis combattu par la franc maçonnerie, qui me livre une guerre de sorcellerie sans merci. Je suis heureux d'être de la lumière

C'était un bref récit de ma vie...



Morteüs