Le mamelon d'or

Ne pas lui faire mal
Ne pas abuser de ses chairs
Toucher ses seins un art martial
Un plaisir éphémère

Cette chose est fragile
Et fait de l'homme un dieu
De mes mains habiles
Te mène sous d'autres cieux

Je suis l'amour
Je n'abuse pas de tes glands
Ma langue parcours
Un fruit que parfois tu défends

Plusieurs saveurs
Mais un dégustateur s'y perd
Sur tes seins je pleurs
Trop de chair

Il y a l'art de manger du riz
Et l'art de manger des seins
De mordre tes fesses épanouies
Ton corps est victime d'un larcin

Tes seins méritent une poésie
Savoureux comme de la poire
Le plaisir est une hérésie
Le plaisir est un grand manoir

Tes hanches méritent d'être caressées
Nul besoin de perfection
Enivrons-nous de vanité
Vivons de passion

Tu es une fleur d'agrume
Un portrait érotique
Tes seins jusqu'à l'amertume
Ton mamelon d'or et je fornique

Laisse-moi te découvrir
Au milieu d'un bouquet d'anus
Laisse-moi m'assouvir
Des glands que je suce