Abraham et Abracadabra

Abraham, le nom du père de la foi, est un nom empreint d'une signification métaphysique, un nom béni et maudit pour qui le porte comme Morteüs. Les consonnes l'arme, les voyelles les cartouches, Abraham possède trois voyelles, soit trois A, le A une arme puissante que l'aspirant devra utiliser en terme de métaphysique linguistique, l'occident en rébellion contre son père adoptif le Christ a choisie l'abracadabra, trop de voyelles A, qui l'ont fait sortir de la perfection et de l'équilibre de la trinité des trois A d'Abraham et qui l’a fait pénétrer dans l'hystérie de l'abracadabra. D'Abraham à Ibrahim il y a mille latitudes, le I est maléfique, il est soutenue par un A tout puissant, c'est encore là, la différence entre mage (ceux qui ont visité Jésus) et magie, le I maléfique est la passerelle entre le mage et le magicien. Mais bon le livre des livres, qui n'est autre que la bible, doit être dépassé par l'aspirant délivré de l'air judéo-chrétien, qui se tournera alors vers l'abracadabra...

Morteüs